Marie
Louis
Marie
Louis Michel Evellin
(1844
- 1899)
Un mois
avant la mort de sa mère il vendit à son frère Emile sa part dans le fonds de
commerce pour 5.000 francs, plus 20.000 francs en compensation de
l'interdiction d'installation concurrente qu'il s'imposait.
Nous le
retrouvons plus tard à Paris "où il s'occupa – dit Emile Louis EVELLIN –
de diriger les Pompes Funèbres Générales. Il en créa dans d'autres villes dont,
je crois, Dunkerque et Lorient".
Nous
possédons par ailleurs une correspondance échangée entre Marie-Louis et son
cousin Victor LITOUX avec lequel il était en affaires. Il en ressort qu'après
une gestion malheureuse de la Société des Pompes Funèbres Départementales, de
la Seine, semble-t-il, mise en liquidation judiciaire Marie-Louis est entré en
octobre 1898 comme administrateur délégué à la tête de la Compagnie des
Voitures et Pompes Funèbres de l'Oise à Beauvais.
Peu après
il ressentit une grande fatigue et fut pris de crachements de sang. Il revint à
Nantes pour y mourir le 29 juin 1899, en sa demeure 23 rue de la Fosse ([1]). Il
ne laissa pas grand chose à son épouse Cécile BOUTIER, qui lui survécut
jusqu'en 1927 ; elle fut notre "promeneuse" quand nous habitions rue
de la Marne.
Ces informations ont été
obtenues grâce au travail |
[1] Son décès fut déclaré par Messieurs THIBERGE, doreur en métaux, rue de la Juiverie et Louis MINIER, doreur en métaux, rue du Moulin, très certainement des ouvriers de la maison EVELLIN.